Hunt: Showdown 1896 - The Concubine DLC PC Steam CD Key
from
€7,81
Ex Tax: €7,81
- Stock: 11
- Éditeur: Crytek
- Model: gz#139747
Ce DLC contient un Chasseur, deux armes et un outil :
- La Concubine (Chasseur)
- Shahmaran (Sparks)
- Angoisse d'une sœur (arbalète légère)
- Mort d'orgueil (couteau lourd)
La Concubine
À mesure que la réputation d'Alaz prenait de l'ampleur, son passé se mua en conte de fées sanglant et son présent fut baigné de boue et de sang. Elle poursuit un futur sculpté par la haine et la vengeance, un avenir qu'elle se promit à elle-même et à ses sœurs disparues.
Angoisse d'une sœur
Quand Alaz gagna de l'argent en tant que femme libre pour la première fois, elle acheta cette arbalète légère. Décorée de souvenirs de ses sœurs perdues, Alaz la manie avec force et résilience.
Shahmaran
L'inscription gravée sur ce Sparks LRR insuffle la force de son homologue, une légende, à ceux qui sont dignes de le manier. Pas étonnant qu'il soit tombé entre les mains d'Alaz.
Mort d'orgueil
Le couteau lourd du marchand, décoré des pièces glanées lors de ses voyages, était l'arme idéale pour qu'Alaz remette l'homme à sa place. Des heures de terreur et de torture plus tard, l'ancienne concubine récupéra son dû.
Les vêtements d'Alaz, autrefois colorés et riches en motifs, sont désormais recouverts de boue et de sang. Les taches forment de nouveaux motifs, des inscriptions mortelles complexes. Ses histoires sont à leur image : baignées de sang et leur première version est méconnaissable. Mais elles commencent toutes de la même façon : un marchand ayant fait voile depuis une terre lointaine, des sœurs condamnées par le destin et forcées de le suivre. Les voiles s'affaissèrent, le vent ne souffla plus et le marchand révéla sa part la plus sombre. Piégées sur les eaux calmes, chaque jour de voyage se parait de nouvelles horreurs. Alaz dut supporter la vision de ses sœurs tordues par la douleur, ne trouvant la paix que dans la froide étreinte de l'océan. Elle jura de les venger et de tout détruire sur son passage telle une tempête.
Au port de la Nouvelle-Orléans, les riches les accueillirent dès leur débarquement. Un manoir, qu'ils avaient baptisé le Palais du sultan, avait été préparé pour eux. La nourriture et les boissons abondaient, assez pour satisfaire les désirs les plus avides, et les mélodies de la terre natale d'Alaz résonnaient avec la musique dans les rues de la Nouvelle-Orléans. Une telle débauche rendait aussi sourd qu'aveugle.
Il ne fallut pas longtemps avant que le vent hurle, que les eaux du port s'agitent, et Alaz se prépara encore une fois à accueillir le marchand dans sa chambre, mais cette fois, avec Mort d'orgueil en main. Elle déchira muscle et chair avec soin, lui arrachant sa fierté, et le laissa saigner à mort sur son lit. Elle rejoignit les invités dans le hall principal dans sa robe ensanglantée, afin de leur offrir une mort rapide grâce au précieux fusil du marchand, Shahmaran.
Quand la tempête s'apaisa au matin, une rivière de sang déferla du Palais du sultan jusqu'aux rues balayées par l'ouragan. Les habitants de la Nouvelle-Orléans découvrirent les corps empilés dans le hall. Alors que les plus confus commençaient à poser des questions, Alaz avait déjà dépensé sa première prime pour acheter une arme qu'elle baptisa Angoisse d'une sœur.
- La Concubine (Chasseur)
- Shahmaran (Sparks)
- Angoisse d'une sœur (arbalète légère)
- Mort d'orgueil (couteau lourd)
La Concubine
À mesure que la réputation d'Alaz prenait de l'ampleur, son passé se mua en conte de fées sanglant et son présent fut baigné de boue et de sang. Elle poursuit un futur sculpté par la haine et la vengeance, un avenir qu'elle se promit à elle-même et à ses sœurs disparues.
Angoisse d'une sœur
Quand Alaz gagna de l'argent en tant que femme libre pour la première fois, elle acheta cette arbalète légère. Décorée de souvenirs de ses sœurs perdues, Alaz la manie avec force et résilience.
Shahmaran
L'inscription gravée sur ce Sparks LRR insuffle la force de son homologue, une légende, à ceux qui sont dignes de le manier. Pas étonnant qu'il soit tombé entre les mains d'Alaz.
Mort d'orgueil
Le couteau lourd du marchand, décoré des pièces glanées lors de ses voyages, était l'arme idéale pour qu'Alaz remette l'homme à sa place. Des heures de terreur et de torture plus tard, l'ancienne concubine récupéra son dû.
Les vêtements d'Alaz, autrefois colorés et riches en motifs, sont désormais recouverts de boue et de sang. Les taches forment de nouveaux motifs, des inscriptions mortelles complexes. Ses histoires sont à leur image : baignées de sang et leur première version est méconnaissable. Mais elles commencent toutes de la même façon : un marchand ayant fait voile depuis une terre lointaine, des sœurs condamnées par le destin et forcées de le suivre. Les voiles s'affaissèrent, le vent ne souffla plus et le marchand révéla sa part la plus sombre. Piégées sur les eaux calmes, chaque jour de voyage se parait de nouvelles horreurs. Alaz dut supporter la vision de ses sœurs tordues par la douleur, ne trouvant la paix que dans la froide étreinte de l'océan. Elle jura de les venger et de tout détruire sur son passage telle une tempête.
Au port de la Nouvelle-Orléans, les riches les accueillirent dès leur débarquement. Un manoir, qu'ils avaient baptisé le Palais du sultan, avait été préparé pour eux. La nourriture et les boissons abondaient, assez pour satisfaire les désirs les plus avides, et les mélodies de la terre natale d'Alaz résonnaient avec la musique dans les rues de la Nouvelle-Orléans. Une telle débauche rendait aussi sourd qu'aveugle.
Il ne fallut pas longtemps avant que le vent hurle, que les eaux du port s'agitent, et Alaz se prépara encore une fois à accueillir le marchand dans sa chambre, mais cette fois, avec Mort d'orgueil en main. Elle déchira muscle et chair avec soin, lui arrachant sa fierté, et le laissa saigner à mort sur son lit. Elle rejoignit les invités dans le hall principal dans sa robe ensanglantée, afin de leur offrir une mort rapide grâce au précieux fusil du marchand, Shahmaran.
Quand la tempête s'apaisa au matin, une rivière de sang déferla du Palais du sultan jusqu'aux rues balayées par l'ouragan. Les habitants de la Nouvelle-Orléans découvrirent les corps empilés dans le hall. Alors que les plus confus commençaient à poser des questions, Alaz avait déjà dépensé sa première prime pour acheter une arme qu'elle baptisa Angoisse d'une sœur.
